punk !

Punk ?

 

ce soir je suis allée, à un show improvisé des vulgaires machin dans ma ville…. 5 minutes de marches, métro et hop direct dans le pit.

J’étais seule avec mon pot.. seule avec la musique…. seule avec moi. Je regardais les gens…. des tatoués, des gars aux cheveux long, des poteux… des jeunes des plus vieux… ensemble réunis… pour du punk… Du punk!

Mon monde…. mon univers…..mon univers que je partages avec que peu de gens….  Du bruit, de la distorsion…. des contestations….des Révoltes!

Une scène principale en plein Montréal…. et des gens comme moi… de mon âge entre amis…. à Montréal… Waaaa les chanceux…. J’enviais ses groupes. J’ai des amis en région… qui n’écoute pas de punk…. qui n’écoute pas ma musique.

Mais en même temps j’étais bien.Bien dans ma bulle d’amour musicale… Fière d’être seule au show…

Des souvenirs… de mon adolescence… de moi écoutant du punk… voulant faire partie d’un groupe…. Des souvenirs de moi craignait d’être une fausse punk…. de pas me faire accepter, par le type de musique…

Et la moi…. heureuse seule… au show des vulgaires… Wow!

Du haut de mon 5 pieds… J’étais fière bien avec le bruits… la distorsion… d’être avec un groupe de gens comme moi!

Cet été sera punk! Sera moi!

Et ce n’est fini! l

Parce que le punk c’est ca!

Banlieue Rouge – Au Coeur De La Tempete

Banlieue Rouge
Engrenages
Au Coeur De La Tempete
D’aucune faction, d’aucune milice,
Nous évoluons loin des idées qui trahissent
Sur un fond de couleur rouge et noir,
Un crâne et des ossements comme seul étendard
Nous, seuls, face au public, rassemblés par la musique
Que les rythmes résonnent, que la distortion gronde,
Que les notes tourbillonent, nous sommes seuls face au monde

Tatouée dans nos esprits, l’aventure de la vie
Qu’on veut sans compromis, et surtout sans soucis
De coeur et de tête, toujours l’esprit à la fête
Que rien ne nous arrête, nous irons jusqu’au coeur de la tempête…

De Montréal à Paris, ça restera les mêmes nuits
A rire et à fêter, à boire et à se déchaîner
Frère, il ne faut pas ralentir ou t’arrêter, tu risques de vieillir
Vieillir du coeur, vieillir dans la peur, vivre ton malheur
Et te noyer dans tes pleurs

Si un jour nous partons, si nous disparaissons,
Ce sera sans dire adieu et ce sera tant mieux
Car y’a pas de doute, on se reverra,
On écumera d’autres routes quelque part dans l’au-delà
Plutôt mourir debout que de vivre à genoux
Surtout faudrait pas croire qu’l’idée est dérisoire,
Pour nous ça se passe plutôt bien,
La vie est un grand bal de vauriens…

 

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